Organisation de la session unique à la Flash/Uac : Les compositions toujours perturbées

La pomme de discorde entre les autorités rectorales et les responsables des institutions estudiantines par rapport à l’organisation de la session unique à la Flash continue toujours à l’Université d’Abomey-Calavi. Ces derniers ne s’entendent pas sur la session unique. Dès lors aucune composition n’a été faite depuis le début de l’année à la Flash. A chaque composition les responsables des institutions estudiantines viennent chasser les étudiants des amphis. Celle programmée pour le lundi 04 juillet 2016 n’a pas eu lieu. Les responsables des institutions estudiantines auraient une fois encore chassé les étudiants d’amphis qui sont venus composer « nous n’allons jamais accepter la session unique tant que nous responsables des étudiants sommes là. Nous disons non et non et le rectorat doit prendre ses responsabilités », a dit les responsables des institutions estudiantines de l’Uac. Ces derniers n’entendent pas baisser les bras. Ils se disent prêts à perturber chaque fois les compositions jusqu’à la satisfaction de leur revendication.

Le président Patrice Talon invité a joué sa partition

 L’histoire de la session unique à la Flash a commencé depuis l’année passée où les responsables des institutions estudiantines d’alors ont fait la grève pendant des mois avant d’obtenir gain de cause. Le gouvernement défunt à travers son ministre de l’enseignement supérieur a tenté de régler ce problème tout en disant aux enseignants de la Flash de laisser les étudiants de cette faculté composée pour les deux en attendant de voir le reste. Ce qui a été fait. Mais l’on a constaté qu’il y a eu trop d’échec l’année passée. Cette année encore la même chose a repris de nouveau ou le rectorat et les enseignants de la Flash tiennent à l’organisation de la session unique à la Flash. Ils ont tenté plusieurs fois mais les responsables des institutions estudiantines ont toujours dit niet. Face à cette situation qui pourrait conduire à une année blanche le président Patrice Talon doit siffler la récréation comme, il l’a fait pour les églises protestantes. Il doit écouter les personnes impliquées dans l’organisation de la session unique à savoir le rectorat, les enseignants de la Flash et les responsables des instutions estudiantines pour la conduite à tenir afin de trouver des solutions à ce problème.

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