Paris : le carnage facile

Publié le dimanche 15 novembre 2015

Les terroristes, ces types là-, hypnotisés par l’idée de trouver Dieu après avoir tué plusieurs enfants de Dieu au nom d’Allah auront tenté un petit exploit en s’attaquant une fois encore aux innocents. Paris aura été ces dernières heures, la capitale de l’effroi. Le groupe  » Etat Islamique  » a opéré un carnage facile (1) et montrer que sa force tire sa source principale de la délinquance primaire (2)

  1. Le carnage facile

Les terroristes qui ont remué Paris dans la nuit du vendredi dernier ont réussi à ôter la vie à des innocents. Mais à y voir de près, ce sont actes de lâcheté. Au lieu de s’en prendre aux forces de l’ordre, ils ont choisi de s’attaquer à des populations libres. En l’occurrence, des citoyens qui s’égayaient dans un bar, un lieu privé ouvert au public. Les névrosés de l’Etat Islamique refusent de s’attaquer aux forces constituées. Alors même que c’est en cela qu’on devrait mesurer leur force. Ils ont choisi la voie de la facilité. Que de facilité. Tuer des gens sans défense. Et ce, en série. Pour que le  » dieu  » des névrosés soit content, il eut fallu tuer des forces organisées. En effet, les terroristes utilisent des armes. Donc, ils ont choisi de s’armer. Par conséquent, ils devraient restés logiques envers eux-mêmes. Dès lors, il faudrait combattre armées contre armées. En évitant le rapport des forces, les névrosés sont coupables de crimes de guerres. Les populations civiles innocentes sont à épargner. C’est aussi au nom de cette névrose religieuse que des filles sont kidnappées dans les écoles, violées, et torturées. L’humanité traverse une crise morale. C’est finalement vers la famille qu’il faudra tourner pour lutter contre ce fléau sanglant.

  1. La délinquance primaire source principale

Les enquêteurs sont unanimes. La plupart des névrosés qui s’adonnent au terrorisme sont en grande partie des délinquants de toutes sortes. Ils sont souvent des auteurs de délits de droit commun. C’est comme pour dire que c’est en prison que l’envie de devenir un guerrier de la mort est cultivée. Il y a lieu d’humaniser les prisons. C’est-à-dire faire entrer par tous les moyens l’amour au sein des lieux de détention. Il y a comme une urgence d’apporter de la civilisation au sein de cette population de délinquants primaires. A l’heure où nous éditons, quelque part dans une prison, un délinquant se radicalise. Il faut sauver cette bande d’individus livrés à eux-mêmes. Ils sont les proies faciles de prédicateurs mal inspirés, peu cultivés sur l’islam. L’Islam ce n’est pas cela. L’ISLAM c’est l’amour. Comment allons-nous épargner l’humanité de l’interprétation erronée du livre saint ? C’est le devoir de la famille. Il faut entrer l’amour dans les familles, les vraies c’est-à-dire, non homosexuelles. La famille est le cadre idéal. Tout se joue dans la famille. Et ce, de 0 à 18 ans. C’est de la responsabilité de la famille d’éduquer les enfants à l’Amour.

Que la presse utilise les mots justes pour ouvrir les portes closes où se préparent et se planifient des carnages sanglants.

Herbert- Tauyé Houngnibo


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